Bien que la plupart des économistes conviennent que des droits de propriété sécurisés contribuent fondamentalement à la croissance économique et à la prospérité élargie, plus d’un milliard de ménages dans les pays pauvres restent encore sans droits sécurisés, documentés, enregistrés publiquement et négociables dans leurs pays.
Comme dans les pays développés, les gens dans les pays pauvres placent leur épargne et leur richesse dans l’immobilier. Mais contrairement aux pays développés, la faiblesse des droits de propriété rend la majeure partie de l’épargne des pauvres illiquide. Ce n’est pas une mince affaire puisque la valeur de ces économies « gelées » est estimée à bien plus de 10 trillions de dollars.