Le rire est le propre de l’homme…
Moi personnellement, je n’en finis pas de lessiver mes humeurs encrassées avec de bons gros rires, longs et gras si nécessaire.
Pourrir est aussi le propre de l’Humanité…
Il est plus qu’urgent de rire de la pourriture… de trouver quelque chose de risible et de dérisoire à la corruption de la chair.
Béatrice AMMERA MENDO, je ris déjà de mon propre cadavre, drôlement impuissant malgré ce petit air sérieux que lui aura donné le formol.
Voilà…
La perspective du rire bergsonien comme alternative au ricanement stoïcien…
En toute comédie réside une tragédie qu’on étouffe dans l’œuf…
Béatrice AMMERA MENDO,