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KARY MULLIS / LE SIDA : Le PCR une technique qui permet de multiplier l’ADN à volonté.

KARY MULLIS

Prix Nobel de chimie 1993, pour l’invention de la technique PCR.

Kary Mullis

Prix Nobel de chimie en 1993, étoile de la génétique, a révolutionné la médecine et la biologie par la découverte de la PCR, une technique qui permet de multiplier l’ADN à volonté. La PCR a changé la routine de travail dans les laboratoires. Grâce à cette baguette magique de la génétique, découverte en 1984, il fut possible de mener à sa fin le projet “Génome”, d’identifier des criminels à travers l’analyse de leur ADN ou de découvrir si telle maladie est inscrite dans le code génétique d’une personne.

“Il y a un terrible malentendu autour du “sida”. Nous avons travaillé durant 10 ans sur une fausse idée”. Les critiques de Kary Mullis sont : “Depuis 1983 nous travaillons avec l’hypothèse que le virus “VIH” est la cause du “SIDA”, mais pour le moment nous ne disposons d’aucune preuve solide qui le démontre. Il n’existe aucun article publié dans aucune revue scientifique qui conclue : “le VIH est la cause du SIDA”.

PRÉFACE DU LIVRE DE PETER DUESBERG “INVENTING THE AIDS VIRUS”

En 1988, je travaillais comme consultant au Speciality Labs, à Santa Monica, réalisant des analyses du virus de l’immuno-déficience Humaine (VIH). Je m’y connaissais assez bien à propos d’analyses de tout ce qui a un acide nucléide car j’avais inventé la Réaction en Chaîne de la Polymérase (PCR). C’est pour cela que l’on me contacta.

D’autre part, le Syndrome d’Immunodéficience Acquise (SIDA) était quelque chose à propos duquel je ne savais pas grande chose.

De cette façon, lorsque je me retrouvais écrivant un rapport d’information sur nos progrès et objectifs parrainés par l’Institut National de la Santé, je me rendis compte que je ne connaissais pas la référence scientifique pour appuyer la déclaration que je venais d’écrire : “Le VIH est probablement la cause du SIDA”.

Je m’adressais donc au virologue de la table d’à côté, un monsieur sérieux et compétent, et lui demandais pour cette référence. Il me répondis que je n’en avais besoin d’aucune, je ne fus pas d’accord. Malgré qu’il soit vrai que pour certaines découvertes ou techniques scientifiques il est bien établi que leur source ne sont plus mentionnées dans la littérature contemporaine, celà ne parraissait pas être le cas à propos de la connexion VIH/SIDA.

Pour moi il était totalement évident que l’individu qui avait découvert la cause d’une nouvelle maladie mortelle et jusqu’alors incurable, ne soit pas continuellement mentionné dans les publications scientifiques jusqu’à ce que la maladie soit guérie et oubliée. Mais, comme je l’apprendrais bientôt, le nom de cet individu, qui serait sûrement apte au prix Nobel, n’était dans la bouche de personne. Assurément, cette simple référence devait être quelque part en dehors d’ici. Dans le cas contraire, des dizaines de milliers de serviteurs publics et de scientifiques de renom de diverses provenances, essayant d’éclairer les morts tragiques d’un nombre considérable d’homosexuels et/ou de consommateurs de drogues intraveineuses compris entre 25 et 40 ans, n’auraient pas permis que leurs recherches suivent une voie d’étude étroite. Tout le monde ne pêcherait pas dans la même mare, à moins qu’il ne soit bien établi que les autres mares soient vides. Il devait y avoir une information publiée, ou même plusieurs, qui ensemble indiquent que le VIH est la cause possible du SIDA, celà devait exister!

Je fis des recherches sur l’ordinateur, mais ne trouvais rien! Bien sûr, vous pouvez perdre des informations importantes avec les recherches sur ordinateurs, seulement en n’introduisant pas les mots clés concrets. Pour être certain d’une conclusion scientifique, le mieux est de demander à d’autres scientifiques directement. Voilà à quoi servent entre autres choses ces conférences scientifiques en des lieus éloignés sur de belles plages. Une part de mon travail consistait à aller à beaucoup de rencontres et de conférences. Je pris l’habitude d’approcher quiconque donnait une causerie sur le SIDA et de lui demander quelle référence je devais citer pour cette grandissante polémique déclaration : “Le VIH est la cause probable du SIDA”.

Après 10 ou 15 rencontres en deux ans, je commençais à m’inquiéter lorsque je vis que personne ne pouvait me citer cette référence. Je n’aimais pas la vilaine conclusion qui se formait dans mon esprit : la campagne entière contre une maladie considérée comme la peste noire grandissante du vingtième siècle, était basée sur une hypothèse dont personne ne pouvait se souvenir de l’origine. Celà défiait le sens scientifique comme le sens commun.

Finalement, j’eus l’opportunité d’interroger un des géants de la recherche du VIH et du SIDA, le Dr Luc Montagnier, de l’Institut Pasteur, lorsqu’il donna une conférence à San Diego. Ce fut la dernière fois que j’ai pu poser ma petite question sans me mettre en colère. Je m’étais imaginé que Montagnier connaissait la réponse. Ainsi je la lui demandais. Avec un regard perplexe condescendant, Montagnier dit : “Pourquoi ne citez vous pas l’information du CDC ?” (Centre de Contrôle des Maladies).

Je répondis : “elle ne se réfère pas réellement au thème de savoir si le VIH est ou non la cause probable du SIDA, ou le fait-elle? “Non” admit-il, sans doute en se demandant dans combien de temps j’allais partir. Il chercha de l’aide dans le petit cercle de personnes autour de lui, mais tous, comme moi, attendaient une réponse plus concluante. “Pourquoi ne citez vous pas le travail sur le VIS ?” (Virus de l’Immuno-déficience Simiesque) offrit le docteur. “J’ai aussi lu ceci, Mr Montagnier et ce qui est arrivé à ces singes ne me rappelle en rien le SIDA. De plus cette information n’a été publiée qu’il y a deux mois. Je recherche l’information originale dans laquelle quelqu’un a démontré que le VIH est la cause du SIDA”. Cette fois ci , comme réponse, le Dr Montagnier s’est dirigé de l’autre côté de la pièce pour saluer une connaissance.

Je saute à une autre scène quelques années plus tard dans ma voiture. Je conduisais de Mendocino à San Diego. Comme beaucoup de monde en ce temps-là, je savais beaucoup plus sur le SIDA que je ne l’aurais jamais voulu. Mais je ne savais toujours pas ce qui avait déterminé ce qui était causé par le VIH. Comme je commençais à m’endormir, pendant que je passais les montagnes de San Bernardino, j’allumais la radio et tombais sur un type qui parlait du SIDA. Son nom était Peter Duesberg et c’était un éminent virologue de Berkley. J’avais entendu parler de lui, mais je n’avais jamais lus ses écrits ni ne l’avais écouté. Je fixais mon attention, à présent bien réveillé, pendant qu’il expliquait exactement pourquoi il avait tant de problèmes à trouver des références qui reliaient le VIH au SIDA. Lorsque j’arrivais à la maison, j’invitais Duesberg à San Diego à présenter ses idées dans une conférence à l’Association Américaine de Chimie. Très sceptiques au départ, l’audience resta à la lecture, puis à l’heure des questions et puis, restèrent à discuter jusqu’à ce que l’on nous mette dehors en nettoyant la salle. Tous repartirent avec plus de questions que lorsqu’ils arrivèrent.

J’aime et je respecte Peter Duesberg. Je ne crois pas qu’il sache nécessairement ce qui cause le SIDA, nous avons des différents à ce propos, mais tous deux savons ce qui ne le cause pas. Nous n’avons put trouver aucune bonne raison pour expliquer pourquoi la majorité des gens sur la Terre croit que la maladie SIDA est causée par un virus appelé VIH. Simplement, il n’y a aucune évidence scientifique qui dise que c’est vrai !

Nous n’avons pas été capables non plus de découvrir pourquoi les médecins prescrivaient une drogue toxique nommée AZT (Zidovudine-Rétrovir) à des personnes qui n’ont d’autre mal que la présence d’anti-corps au VIH dans leur corps. De fait, nous ne pouvons comprendre pourquoi des êtres humains prendraient cette drogue pour quelque raison que ce soit. Nous ne parvenons pas à comprendre comment a surgie cette folie, et ayant vécu tous deux à Berkeley, nous avons vu des choses très étranges.

Nous savons que l’erreur est humaine, mais l’hypothèse HIV/SIDA est une erreur diabolique. Je dis celà à voix haute en tant qu’avertissement. Duesberg le dit depuis très longtemps. Lisez son livre !

Duesberg, Peter H.
Inventing the AIDS virus. Washington, D.C., Regnery Publishing [1996] xiv, 722 p.

Traduction Sylvie Cousseau, 1999.

 

Kary Mullis : “Le Sida n’existe pas”

Extrait de l’article de Pablo Ayo – Stargate n• 3 – Rome

 

La théorie du professeur Mullis, 53 ans, a révolutionné le plateau d’une conférence sur le Sida qui s’est déroulée à l’université de Toronto. Confirmant son point de vue, partagé par des centaines de scientifiques et de médecins et des milliers de personnes dans le monde. Mullis a déclaré que l’HIV n’est pas la cause du Sida. Il est soutenu par l’écrivain Christine Maggiore et l’illustre virologue et chercheur Peter Duesberg, lequel affirme que le lien entre l’HIV et le Sida n’a jamais été prouvé. Le Sida, en réalité, serait la conséquence accumulée d’infections, en particulier des maladies vénériennes aggravées par l’usage de la drogue ou autres facteurs qui affaiblissent le système immunitaire. Mullis pense à peu près la même chose : “Ma pensée diffère un peu de celle de Peter dans le sens où je n’ai pas la preuve que des maladies vénériennes puissent déclencher le Sida” Sincèrement, je n’ai aucune preuve concernant les causes du Sida”, soutient Mullis.

“Il n’y a aucune preuve scientifique prouvant que l’HIV est la cause probable du Sida” C’est ce qu’il vient de déclarer dans le quotidien “Sunday Sun”. On prend 29 symptômes différents et on les réunit sous la dénomination Sida à des fins économiques – souligne le bIochimiste – des personnes soutenues par le NIH (National Institutes of Health, USA) ou par des compagnies privées qui essaient de s’enrichir grâce au Sida. La première fois que le Sida fut défini, il existait quatre symptômes divers et des maladies qui le caractérisaient : le sarcome de Kaposi, un cancer de la peau, un type de pneumonie et deux champignons que je n’arrive même pas à me rappeler. Maintenant, nous en sommes arrivé à 29 symptômes, dont un est le cancer utérin et l’autre la tuberculose A quand le tour de l’infarctus ? Et que dire si parmi les symptômes, il y avait le cas de quelqu’un qui s’est fait renversé par un camIon ?

Cela, c’est une théorie extrêmement risquée C’est comme si on affirmait qu’une fois qu’on a contracté l’HIV, chaque autre maladie ne serait arrivée si auparavant on n’avait pas eu le Sida. Le Sida n’existe pas, c’est seulement un mot”.

Selon Mullis, même l’HIV n’est pas sûr. Il existe un test, mais même si une fois il est positif, la fois suivante, il peut être complètement négatif.

“Le Sida est une maladie américaine et n’a rien à voir avec l’Afrique. Eux, ils ont ce qu’ils ont déjà depuis 500 ans : la malnutrition et l’absence d’hygiène. Appelez-le, si vous voulez, Sida. Mais c’est comme quand les chrétiens définissent “le diable”.

Mullis est plus que sérieux. Un autre éminent personnage, John Scythes, pense que le Sida peut être l’ultime stade d’une syphilis non soignée, dont les symptômes sont proches du Sida, et qu’il est très difficile de diagnostiquer.

De telles théories font fulminer les médecins et les savants conventionnels : ils craignent que discréditer les hypothèses officielles sur le Sida risquent d’annuler les dizaines de campagnes sur le sexe “sûr” et de décourager les malades de prendre des médicaments basés sur le principe de l’HIV, comme les inhibiteurs de protéases. “Nous craignons que cela nuise à des personnes mal informées” dit Paul MacPhee, co-président de la Sida Action Now. Selon les activistes du groupe de Mullis et Duesberg de tels médicaments ne soignent pas la maladie, mais, au contraire, risquent de l’aggraver.

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