L’homme a été surpris vers 9 h 30 sur une pelouse du 7e arrondissement de Paris, alors qu’il pilotait un drone de 400 grammes à quatre hélices équipé d’une caméra à l’avant, selon la source du quotidien francilien.
La CNIL est, ironiquement, à l’origine d’une réflexion prospective et de la réglementation concernant l’usage de drones.
« En effet, précisait-elle dès 2012, en fonction des caractéristiques techniques de ces outils, les photos et les vidéos prises peuvent permettre de distinguer les traits du visage, la morphologie de la silhouette, les mouvements de la personne, mais aussi de lire des plaques d’immatriculation. »
La CNIL a confirmé l’information dès samedi et précisé que l’usage d’un drone par l’un de ses agents un samedi matin ne rentrait pas dans un cadre professionnel