OÙ EST PASSE NOTRE ARGENT ?
LE FRANC CFA N’EST PAS UNE MONNAIE SOUVERAINE. C’EST UNE MONNAIE ABJECTE COMME LES BEIGNETS OU DU RIZ QUE NOUS CONSOMMONS TOUS LES JOURS SANS VALEUR AJOUTEE.
Le but d’œuvrer et de s’imprégner politiquement ou économiquement dans une nation ou un pays SOUVERAIN, c’est le fruit de jouir d’une indépendance absolue dans nos différentes entreprises sans complaisances ou notion de subordination.
C’est aussi d’être capable de créer la richesse a partir de cette opération que vous exercez a travers un métier, ou une fonction conséquente pour régénérer des profits ou des dividendes au sein de la communauté dans laquelle vous vivez.
Auquel cas, vous participez aux tâches de la citoyenneté cordialement. C’est à dire ; en payant vos impôts correctement et loyalement sans les actes frauduleux. Ainsi, une contribution pour la création de richesse, au développement, voire au progrès devient une réalité ou une vérité absolue !
Cependant, lorsqu’en Afrique francophone après cinquante années d’indépendance, nous continuons a travailler, a œuvrer, et a persévérer sur les tâches difficiles sans résultat conséquent, nous devrions un moment s’interroger sur cette situation déplorable qui perdure depuis nos indépendances :
POURQUOI SOMMES-NOUS RESTÉS IMPRODUCTIFS DEPUIS SEPT DECENNIES, N’AYANT JAMAIS CONNU UNE AMELIORATION CONSEQUENTE DANS NOS DIFFERENTES NATIONS, AUTREFOIS COLONISEES PAR LES EUROPEENS ?
Bien que tous les secteurs d’activités installés en Afrique de nos jours soient potentiellement qualifiés pour la croissance ou notre développement, nous
devrions comprendre pourquoi cette évidence reste caduque, tout simplement à cause F. c.f.a.
D’où les nombreuses dettes enregistrées et accumulées dans la vie courante des Africains, voire d’anciennes colonies de la France sont conséquentes. Lesquelles sont restées statiques depuis les indépendances jusqu’aujourd’hui.
A quoi servent les investissements en Afrique ? Ainsi que les activités séculiers dans nos villes et nos pays, si nous n’avions aucune valeur ajoutée, voire une rentabilité alléchante de notre labeur ?
EXPLICATION POUR MIEUX COMPRENDRE !
Selon la charte conventionnelle sur la parité monétaire signée entre la France et ses anciennes colonies en Afrique au lendemain de la deuxième guerre mondiale, plus précisément depuis Décembre 1945, nous perdons en moyenne plus de 60 % de notre richesse a cause de la parité monétaire Euro contre Franc Cfa, contrôlée par une cellule liée au trésor publique français nommée : « Compte d’opération ». Par ailleurs, c’est depuis dix (10) ans seulement que nous sommes passés de 90 a 60 % de notre revenu confisqué par la France depuis la signature de cette convention.
Lorsque nous calculons selon l’agence ecofin qu’en 2013, le Cameroun avec un budget national annuel avoisinant les 3400 milliards de F.cfa, voire près de 5 milliards d’euros seulement pour vingt un (21) millions d’habitants, on peut comprendre notre place dans cette société aujourd’hui, comme étant les subalternes de la civilisation.
Pourtant, 60 % de cette somme serait restée dans le trésor public français. Tandis que 40 % (3400 milliards) nous est envoyé dans notre banque centrale (BEAC). Car les 60 % de la partie coloniale (selon les clauses du pacte colonial) repartent dans le compte d’opération en France selon la signature de cette convention. Etant donné que notre monnaie est aussi fabriquée en France.
En d’autres termes, plus de 4000 milliards de Franc cfa sont confisqués par la France annuellement parce que notre monnaie est fabriquée en France.
Et celle-ci décide de sa conduite dans toutes les nations concernées. Notre monnaie que nous utilisons tous les jours est une propriété absolue de la France. Nous acceptons cette cacophonie sans dire mot depuis 50 ans déjà.
Si cet argent dont nous sommes censés utiliser dans notre pays dort en France depuis plus de 50 ans sans alternative, alors, nous aurions approximativement plus de 200.000 milliards F.cfa à distribuer aux Camerounais depuis 50 ans. C’est à dire près de 166 milliards chaque fin du mois a partager à tous les Camerounais. Sans compter leur revenu traditionnel.
Ainsi, plus de 200 trillons (mille milliards,) de F.cfa ou pratiquement 350 milliards d’euros que la France nous vole depuis notre indépendance était utilisées dans notre pays ou dans notre économie, nous serions surement l’un des plus grand pays au monde. Car si nous comptons les intérêts que cet argent ait produits jusqu’ici, on obtiendrait presque la moitie de cet argent, voire même plus ! Presque 350 trillons (mille milliards) de F.cfa. C’est à dire, plus de 500 milliards d’euros.
Vu que cet argent serait distribué a tous les ayant droits, cela aurait surement permis d’obtenir un pouvoir d’achat conséquent, en augmentant notre croissance, les investissements, voire les grandes industries macro-économiques sans oublier le niveau de l’éducation qui serait très élevé jusqu’ici.
En fait, le Franc Cfa est la plus grosse escroquerie jamais organisée dans le monde contre les anciennes colonies françaises en Afrique. C’est ce que le professeur Nicolas Abgohou disait être le Nazisme monétaire. (Auteur de l’euro, le franc Cfa, contre l’Afrique) EDITION : Solidarité Mondiale – 2008.
Notre principal problème aujourd’hui est, et reste le franc Cfa. Tout autres problèmes ne sont que des tergiversations et des lamentations futiles.
Pourquoi continuer à souffrir, à se lamenter, ou se plaindre même auprès de Dieu, lorsque notre argent que Dieu nous a donné depuis notre naissance soit confisqué par les français depuis un demi siècle déjà ?
Sachons qu’entend que Camerounais et Camerounaise, peut importe notre statut social ; que nous soyons chômeurs, policiers, fonctionnaire, commerçant, bayam-sellam, taximan, étudiant, vendeur ambulant, militaire, sportif, pasteur, imam, gendarme, callboxeurs ou médecin, nous perdons plus de 4000 milliards chaque année a cause de la France.
Car cette monnaie qu’est le F.cfa n’est pas une monnaie normale comme d’autres. C’est une monnaie de singe que nous utilisons tous les jours. Car nous n’avions ni son contrôle, ni sa régulation, encore moins sa fabrication.
PARLONS EN CONSIDERABLEMENT A NOS PROCHES, AMIS ET FAMILLES.
POUR LE MOMENT, PHOTOCOPIONS CE DOCUMENT ET PARTAGONS CETTE INFORMATION AVEC NOTRE ENTOURAGE.
LA SOLUTION, NOUS L’ESPERONS L’AVOIR D’ICI 2018 !